... que je voudrais personnellement suspendre par les poils pubiens.
Selon Patrice Huerre, on assiste à une véritable «judiciarisation des conflits ordinaires».
Ce néandertalien abruti pense que
ceci est *
ordinaire*.
[d'après le Petit Robert:
ORDINAIRE I Adj.
1. Conforme à l'ordre normal, habituel des choses]
Huerre, je te souhaite de passer un moment "ordinaire" comme ça.
C'est à cause d'abjects sacs de gerbe comme toi que l'on accepte que nos enfants se fassent taper dessus. C'est à cause de charlatans demeurés comme toi que j'ai subi des choses, enfant, que je n'aurai jamais du subir.
Ce n'est pas aux enfants qui tapent que j'en veux.
Ce n'est pas aux instits, qui ne sont sans doute même pas formés à la surveillance d'une cour de récréation (ouais, ricanez, mais si vous croyez que surveiller une cour pleine de gamins est évident, vous êtes inconscient) et qui en plus, se font endormir par des cafards de ton espèce.
C'est un peu à moi que j'en veux, pour n'avoir jamais fait d'histoires lorsque mes enfants se faisaient griffer ou mordre ou donner des coups à l'école en France, pour avoir participé à cet endormissement général.
Mais, c'est surtout à toi et ta race de pédopsy puants que j'en veux.
«Il y a toujours eu des actes agressifs à la crèche,[...] puis des bagarres cruelles à la maternelle»
Vous arrivez à faire avaler à tout un pays qu'en gros, il est inévitable que leurs enfants se fassent taper dessus dans la cours de récréation,... connards.
Il se trouve que j'ai connu pas mal d'écoles, dans un certain nombre de pays, sur plusieurs continents, comme élève et comme parent. Je ne suis pas une pédopsy comme toi, connard, mais j'ai accumulé une expérience qui me permet de comparer.
Ce que j'ai observé est ceci:
Les enfants, même jeunes, peuvent co-exister sans jamais avoir envie de se taper dessus. La nature cruelle/agressive de l'enfant est un mythe.
Quel comportement les adultes autour attendent-ils d'un enfant? Voilà ce qui déterminera la 'nature' de cet enfant.
En Angleterre, c'est grâce à des raisonnements comme le tien, connard, que le
'bullying' est devenu une institution.
"Il y a un décalage entre la gravité de cette bagarre [...] et le dépôt de plainte"
Elle a eu mal, elle a eu peur, elle sait désormais que les adultes autour d'elle ne la protègeront pas. C'est très grave.
Et au bout de combien de coups cela aurait-il valu un dépôt de plainte? Il faudrait nous dresser une grille, mon vieux!
Au Texas, où les écoles vivent dans la peur des procès (la fameuse
judiciarisation) on ne laisse pas aux enfants la possibilité de découvrir combien il est "ordinaire" de se taper dessus.
Il y a des formations non-stop auprès des enfants et des instits sur le sujet, que faire si un autre enfant t'agresse, physiquement ou verbalement, que faire si tu as tapé ou veux taper un autre enfant, il y a du
anger management pour tous les âges, les instits apprennent à détecter certains types de comportement et prévenir des situations de conflit potentiel, etc... etc...
Et en attendant, les Petit Pasfous remarquent la différence à chaque fois qu'ils retournent à l'école en France.
En somme, plus on trouvera ça 'ordinaire' et inévitable que nos enfants soient agressé ou agresseur à l'école, plus ça arrivera et plus ça produira des adultes comme toi, connard.
«Comment les adultes présents ont-ils pu laisser les choses se dérouler ainsi ?», s'interroge-t-il.
...Mais puisque tu leur dis que c'est normal! Pourquoi s'affoleraient-ils? Au bout de combien de coups cela n'est-il plus *ordinaire*? On attends toujours ta grille, mon vieux!
J'espère que les parents de cette malheureuse fillette feront un procès à l'Éducation Nationale.
J'espère ne plus jamais recroiser ton nom.
Connard.
# rédigé par
Pasfolle à 01:26